Lorsqu'on se promène dans la nature, on respire l'air pur de la campagne et découvre des paysages qui nous change de notre quotidien. Parfois, il peut arrivé que l’on découvre des choses étranges, des choses qui nous intriguent. Si vous n’êtes pas quelqu’un de curieux, vous passerez votre chemin, mais si vous l’êtes, vous allez sûrement vouloir en savoir plus. N’y a-t-il pas un proverbe qui dit que la curiosité est un vilain défaut ? Alors attention à ce que celle-ci ne soit pas châtié…
La randonnée pédestre est une activité de plein air que pratique volontiers Gilles, un aventurier qui n’a pas peur de partir seul, sur des itinéraires non balisés. Equipés de ses chaussures de marche et de son sac à dos, il parcourt les grandes forêts que compte encore notre belle France. Le ciel est bleu et le soleil brille, c’est un temps idéal pour la marche. Il n’y pas trop de vent et il ne fait pas trop chaud, c’est parfait ! Voilà les conditions adéquates pour une balade agréable. Pour lui, il n’y a aucun doute, sa passion est à la fois un sport et un loisir de découverte et de contemplation.
Tandis que Gilles
parcourt un sentier en forêt, il décide subitement de sortir du chemin pour
s’enfoncer dans les bois. C’est ce que notre aventurier aime le plus,
s’éloigner des sentiers battus pour retrouver la vraie nature, celle qu’on ne
voit plus. Tiens, une croix en plein milieu d’une forêt, c’est étonnant se
dit-il ? Est-ce que quelqu’un a été enterré ici même ? Ce serait plutôt
étonnant. Cette croix composée simplement de deux tubes de métal d’une couleur
blanche, n’est sûrement pas ici par hasard, se dit notre aventurier.
Décidément, l’Homme a laissé sa trace de partout et les endroits inexplorés
n’existent plus sur nos cartes, en France tout du moins.
Bien que la nuit
s’apprête à tomber, que l’heure est venue de rentrer, il décide malgré tout de
rester un peu plus longtemps, tout en se questionnant. Une pause ? Oui, voilà
ce qu’il faut à notre aventurier valeureux. A quelques mètres de la croix, Gilles
s’installe sur une petite couverture, histoire de se poser quelques minutes. Il
en profite pour se désaltérer un peu tout en continuant de fixer cette croix qui
l’intrigue. Peut-être que des personnes se rejoignent ici à des moments bien
précis, pour le temps d’une prière ? C’est une hypothèse qui tient la route.
Une terre sacrée, ça l’étonnerait tout de même. La curiosité ébranle notre
aventurier qui s’est maintenant allonger pour regarder le ciel qui se parsème
peu à peu d’étoiles.
Mince, quelques
heures ont passés, l’aventurier n’a toujours pas reprit la route. Après s’être
longuement reposé, l’homme regarde sa montre qui lui indique qu’il est bientôt
minuit. Zut, se dit-il, il a dû s’endormir. Un instant, Gilles s’étire et se
remotive pour repartir. Tandis qu’il sort de son sac une petite lampe frontale
afin de reprendre le chemin dans les meilleures conditions, des bruits de pas
se font entendre non loin d’ici. Par précaution, il décide de ne pas allumer sa
lumière tout de suite, et, se fait discret, on ne sait jamais. A une heure
pareille, dans un endroit aussi désert, il pourrait faire une mauvaise
rencontre, la prudence et donc de mise.
Les bruits de pas se
rapprochent, il entend maintenant des voix. Ce sont des voix de femmes,
apparemment. Elles sont plusieurs, au moins trois. Maintenant, il les distingue
au loin, ces personnes semble se diriger vers la croix. Elles portent toutes
une robe, fermée par devant en forme de soutane. Mais que viennent faire ces
gens-là à une heure pareille ? Une, deux, trois. Oui, ce sont bien trois
femmes, des religieuses en plus. C’est étrange, aucun homme ne les accompagnent,
ces nonnes n’ont pas peur se dit-il. C’est vrai que l’endroit semble peu
fréquenté, mais tout de même. Et puis l’heure, pourquoi se rassemble-t-elle
aussi tard ? C’est bizarre ! Elles n’ont même pas de lampe torche, juste des
bougies qu’elles tiennent dans leur main pour s’éclairer. Est-ce qu’elles sont
vraiment là pour prier, c’est à se le demander ?
Discrètement, il
rassemble ses affaires et se cache non loin de la croix, derrière des
broussailles pour les observer. Les trois sœurs déposent les bougies tout
autour de la croix et en allume d’autres, c’est bien plus éclairé à présent.
Toujours silencieux, Gilles les distingue bien mieux. Les femmes se tiennent
devant la croix et font leur signe. La tête baissé et les doigts entrelacés,
elles entament à voix haute une prière.
– Seigneur Dieu, aie pitié de nous, tes
servantes. C'est à cause de tous ceux qui cherchent notre perte, que nous
sommes devenues comme une chose au rebut, débuta la première.
– Arrache-nous de la main de nos ennemis, soit
près de nous pour ramener ce qui est perdu, restaurer ce qui est retrouvé,
prononça la seconde.
– Reconnaissant que tu nous as rachetées
par ta puissance, fais que nous puissions te plaire en tout, poursuivit la
troisième.
– Par le Christ, notre Seigneur, Amen,
conclurent les sœurs toutes ensemble.
Gille s’est
peut-être un peu emballé, leurs intentions semblent louables. L’homme se dit
qu’il se fait des idées, l’aventure a trop durée. Alors qu’il est sur le point
de se retirer sans faire de bruit, les bonnes sœurs se mettent à se
déshabiller.
– Dieu, créateur et protecteur du genre
humain, toi qui as créé l'homme à ton image et qui l'as recréé plus
merveilleusement encore par la grâce du baptême, regarde vers nous, tes fidèles
servantes, et sois favorable à notre prière, continua la première alors qu’elle
retire son soutien-gorge pour libérer ses formes généreuses.
– Fais briller dans notre cœur la
splendeur de ta gloire, éloigne terreur, crainte et peur de toute sorte, afin
que, l'esprit et l'âme en paix, nous puissions te louer dans ton Église, dit la
seconde tandis qu’elle fait glisser sa petite culotte le long de ses jambes.
– Par le Christ, notre Seigneur, Amen,
conclurent encore une fois les sœurs toutes ensemble.
Oh mon Dieu, ce
n’est pas vrai, quel spectacle incroyable. L'aventurier n'a jamais vu ça de sa
vie ! Finalement, Gilles se dit qu’il va rester un peu. De là où il est, il les
regarde se dévêtir, les coquines ! C’est fou, jamais il n’aurait imaginé croisé
en forêt des jeunes femmes qui se déshabille non loin de lui. Et en plus, des
nonnes ! Elles qui sont membre d'une communauté religieuse féminine, ne
doivent-elles pas obéir aux vœux de pauvreté, chasteté et obéissance ? Cette
fois, c’est la troisième des nonnes qui s’élance alors que celle-ci aussi
retire son soutien-gorge :
– Dieu tout-puissant, toi qui accordes aux
affligés d'habiter ta maison et qui ouvres aux captifs la porte du bonheur,
regarde la détresse où nous sommes et lève-toi pour nous secourir. Sois
vainqueur de l'Ennemi dangereux et repousse la présence de l'adversaire.
Alors que Gilles
continue de les écouter, halluciné, il contemple leurs formes. Celle qui parle
actuellement à une très grosse paire de seins qui lui met une gaule d’enfer !
C’est probablement la sœur qui a la plus grosse poitrine des trois. Gilles
commence à se toucher le sexe et bave devant leurs corps qui le sublime. La nonne
poursuit :
– Que la liberté nous apporte la paix,
alors nous retrouverons la tranquillité de l'âme et nous proclameront tes
merveilles, toi qui donnes à ton peuple force et puissance.
Et toutes ensemble :
– Par le Christ, notre Seigneur, Amen.
Ces femmes
sont-elles vraiment des religieuses ? Contrairement à l’idée qu’il s’était
faite de ces femmes, elles sont toutes épilées. L’une d’elle a même taillé les
poils de sa chatte sous la forme d’un ticket de métro, c’est excitant.
L’aventurier a maintenant baissé son pantalon pour se branler devant se
spectacle fantasmagorique, c’est incroyable. C’est maintenant la première des
sœurs qui s’exprime à nouveau :
– Dieu, qui es à l'origine de toute
miséricorde et de toute bonté, toi qui as voulu que ton Fils soit crucifié pour
nous, afin de nous arracher au pouvoir de Satan, regarde avec bonté notre
misère et notre peine.
Devant ses yeux
ahuris, le spectacle se poursuit. Les bonnes sœurs nues se touche les parties
intimes et s’embrassent entre elles. Gilles est en extase et se masturbe
derrière sont broussaille. D’un coup, il se demande s’il ne va pas aller les
rejoindre pour leur proposer sa verge. La première nonne continue de prononcer
sa prière ridicule :
– Puisque tu nous as fait renaître dans
l'eau du baptême, repousse les assauts du Mal et répands en nous la grâce de ta
bénédiction.
– Par le Christ, notre Seigneur, Amen.
Après tout, elles ne
sont peut-être pas aussi religieuses qu’il le pense. Et si ce n’était qu’un
déguisement ? Peut-être, mais ce sont des lesbiennes visiblement et elles
risqueraient de ne pas apprécier la présence d’un homme parmi elles. Si
l’aventurier se pose trop de questions, il ne prend pas de risque et reste là,
à se branler alors que pendant ce temps, les sœurs s’adonnent devant lui au
plaisir entre femmes. C’est maintenant la seconde qui prend le relai pour
poursuivre la prière :
– Dieu, toi qui as voulu que nous soyons les
enfants de la lumière, permet que nous ne soyons pas plongés dans les ténèbres
du démon, mais que nous puissions demeurer toujours dans la splendeur de ta
lumière et dans la liberté que nous avons reçue de toi.
– Par le Christ, notre Seigneur. Amen.
Caresses,
cunnilingus, baisers… des préliminaires essentiels que les hommes ont tendance
à oublier sans doute. Les sœurs sont à terre et se caressent, se lèchent. Oh,
Gilles n’en peut plus, il est trop excité et sens qu’il va bientôt éjaculer.
Craque…
– Vous avez entendu ce bruit ? s’inquiéta
la première des sœurs.
– Non, je n’ai rien entendu, viens me
lécher, Dieu te l’ordonne ! lui demande la seconde.
– Ne t’inquiètes pas sœur Marie Belle, il
n’y a jamais eu personne ici, la rassura la troisième.
– Je sais sœur Angèle, mais je suis sûr
que c’était le bruit d’une petite branche, comme-ci quelqu’un avait marché
dessus.
– Allez, allez, léchez-moi le minou mes
sœurs.
– Sœur Anna, reprenez-vous un instant !
supplia la sœur Marie Belle.
De son côté,
l’aventurier ne fait plus un bruit. Mince, lui qui était sur le point de venir.
Il constate simplement que son pied à malheureusement écrasé une petite
brindille. Il va devoir attendre avant d’éjaculer. Alarmé par la sœur Marie
Belle, les autres sœurs regardent tout autour d’elles. Gilles se fait discret
et s’abaisse pour qu’on ne l’aperçoive pas. De leur côté, les sœurs se sont
relevées et jettent un coup d’œil aux alentours. Pourvu qu’elles ne viennent
pas par ici se dit Gilles. Lui qui a le pantalon baissé et la queue en
érection, devant des bonnes sœurs, si toutefois se sont bien des religieuses,
il aurait l’air bien. En même temps, elles aussi s’adonnent à des plaisirs
interdits !
– Tu vois bien, il n’y a personne ici,
remarqua Sœur Anna.
– Je n’en suis pas si sûr, rétorqua sœur
Marie Belle.
– Allons, allons, ma sœur, reprit sœur
Angèle.
Mais sœur Marie
Belle n’a pas l’esprit tranquille et c’est seule qu’elle continue de scruter
les environs alors que les deux autres sœurs se sont rapprochées de la croix.
Malheureusement pour Gilles, celle-ci arrive maintenant à son niveau. Va-t-elle
le voir ?
– Oh, espère de pervers !
– Non, non, ce n’est pas ce que vous
croyez.
Tandis que Sœur
Marie Belle constate les faits, les yeux rivés sur la verge de Gilles qui est toujours
au garde à vous, les autres sœurs s’affolent et sort d’un de leur habit, une
arme à feu. Sœur Anna, qui était pourtant sûr d’elle, tient l’arme à la main et
la braque sur le pauvre gars.
– Ne tirez pas, ne tirez pas, implora
Gilles en levant les mains.
– Sors de là et avance ici, ordonna Sœur
Anna en le braquant.
– Je vous avais bien dit que j’avais
entendu un bruit, ajouta Sœur Marie Belle tout en hochant la tête de haut en
bas.
– Quand je pense qu’il était là, à nous
épiez depuis tout à l’heure, dit gênée sœur Angèle.
– Ce n’est pas ce que vous croyez, supplia
Gilles.
– Tu t’es perdu ou quoi ? Qu’est-ce que tu
fais là ? le questionna Sœur Anna toujours en le pointant avec l’arme.
– Ne me tuez pas, ne me tuez pas, je n’ai
jamais fait de mal à personne moi.
– Tu vas parler ou je te mets une balle
dans les couilles, hurla la sœur Anna tout en dirigeant l’arme sur ses parties.
– Je me suis perdu, je me suis perdu,
c’est tout, répondit l’aventurier angoissé.
– Comme dit le seigneur, nous allons aider
ce pauvre agneau à retrouver son chemin, dit la sœur Anna d’un ton sarcastique.
Malgré que la nonne
le pointe avec l’arme, l’homme ne débande pas pour autant. C’est étrange, il
est pourtant à la merci de ces trois femmes nues, qui ne semble pas plus gêné
que ça de leur nudité devant un parfait étranger.
– Je vais m’en aller, c’est tout, proposa
Gilles.
– C’est tout, s’étonna Sœur Marie Belle en
lui montrant bien qu’elle regarde son engin.
– Qu’est-ce que vous voulez, dites-moi ?
– Finit donc ce que tu as commencé,
murmura la sœur Anna.
– Quoi ? Que je me branle ?
– Oui, met toi à genoux et branle-toi
devant nous, continua sœur Marie Belle tout en se rapprochant de la sœur
Angèle.
Un peu gêné, l’homme
regarde les sœurs qui se tiennent nues devant lui. Il regarde plus précisément
la sœur Angèle, la nonne aux gros seins.
– Puisque tu nous as vu nue, déverse ta
semence, dit à son tour la sœur Angèle écœuré de le voir ainsi, avec son membre
dressé devant les cieux.
L’aventurier porte
la main sur son pénis et devant les sœurs se masturbe honteusement. Il regarde
chacune de ses femmes et active la cadence. Tout doucement, il se met à genoux
tout en continuant de se frictionner le membre, puis, d’un coup, il hurle de
plaisir. Quelques secondes seulement lui suffise avant que sa semence ne se
répande sur le sol. Il faut dire que Gilles était sur le point de se vider
avant que la petite branche ne se casse sous son pied maladroit.
– Regardez-moi ça mes sœurs, s’est
dégoûtant, articula la sœur Angèle.
Les trois sœurs le
regardent, Gilles baisse les yeux. Est-ce qu’elles vont le laisser tranquille
maintenant ? Tandis qu’ils espèrent qu’elles s’éloignent de lui, elles ne
bougent pas et restent juste là. Il se dit alors que s’est à lui de partir,
mais alors qu’il se relève pour remonter son slip et son pantalon, la sœur Anna
le pointe une nouvelle fois avec l’arme et lui dit :
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Je remets mon pantalon ma sœur.
– Tu ne remets rien, tu enlèves tout.
– Quoi ?
– Tu as bien entendu ce que sœur Anna ta
demandé, tu retires tout, tu entends ! s’écria sœur Marie Belle.
Alors que la sœur
Anna le menace, l’homme s’exécute. Il retire son pantalon et son slip, puis,
enlève son t-shirt inquiet.
– Arrêtez, je ne vous ai rien fait !
Gilles commence à
paniquer, les sœurs ne semblent pas plaisanter.
– Attachez-le sur la croix mes sœurs,
ordonna celle qui est armée.
Les soeurs
récupèrent l'un de leur vêtement au sol, et d'une des poches, y sortent des
bouts de corde qu'elles utilisent pour ficeller le pauvre gars à la croix.
Ayant peur que la sœur lui tire dessus, l’aventurier se laisse faire en se
disant qu’elles vont juste lui faire peur pour ne plus qu’il recommence ce
genre de conneries. Aussi, il se dit qu’il n’aurait pas dû rester là, à se
poser toutes ses questions sur l’origine de cette croix.
– C’est quoi cette croix, mes sœurs ?
Mais les sœurs ne
répondent pas. Elles ont les yeux rivés sur son membre qui depuis, a débandé.
– C’est quoi cette croix, bordelle !
L’homme s’agite, il
en marre de toutes leurs conneries.
– Vous allez me laisser partir !
L’aventurier gigote
tout en essayant de se détacher, c’est inutile, les sœurs ont bien fait leur
travail. Il sanglote, que peut-il faire maintenant ? Crier pour demander de
l’aide ? Qui pourrait bien l’entendre d’ici… Dieu peut-être ?
– Pour l’amour de Dieu, je vous en
supplie, laissez-moi partir !
Ignorant ses pleurs,
les sœurs se remettent à se toucher, à s’embrasser. L’homme est maintenant au
premier rang pour admirer le spectacle. De nouveau, elles se lèchent, se
caressent, des choses qui ne le laisse pas indifférent. Finalement, l’homme se
dit qu’elles veulent juste jouer avec lui. Après tout, il n’était pas obligé de
rester quand il les a vu arrivées. Devant cet incroyable spectacle, l’aventurier
se met à rebander, comme-ci cela n’avait pas suffit qu’il se vide une première
fois. Voyant son membre redurcir, les sœurs s’arrêtent et le regardent de
nouveau bander. Puis, en cœur, elles prononcent :
– Gloire au Père et au Fils et au
Saint-Esprit. À Dieu seul honneur et gloire. Bénissons le Père et le Fils et le
Saint-Esprit, louons-le, exaltons-le dans les siècles.
Devant lui, elles
continuent de se toucher en invoquant la grâce du seigneur. Et chacune d’elles
prononces à leur tour :
– Nous t'invoquons, nous te louons, nous
t'adorons, ô bienheureuse trinité.
– Tu es notre espoir, tu es notre salut,
tu es notre honneur, ô bienheureuse trinité.
– Libère-nous, sauve-nous, vivifie-nous, ô
bienheureuse trinité.
Soudain, sœur Marie
Belle se dirige vers sa robe et sort de sa poche une serpe. Gilles ne comprend
plus rien, pourquoi sortir cette arme tranchante maintenant ? Et surtout,
qu’a-t-elle l’intention de faire avec ? Alors qu’elle se dirige vers son
membre, les deux autres sœurs se rapprochent :
– À toi l'honneur et le pouvoir, à toi la
gloire et la puissance dans les siècles éternels, prononça sœur Marie Belle en
remettant la serpe à sœur Angèle.
– À toi la louange, à toi la gloire, à toi
l'action de grâces dans les siècles des siècles, ô bienheureuse trinité, dit à
son tour sœur Anna en hochant la tête, tout en se tournant vers la sœur Angèle.
L’aventurier
malchanceux regarde maintenant la sœur Angèle qui se tient devant lui, avec sa
grosse poitrine qui ne le fait pas débander, bien au contraire, et ceux malgré
la serpe qu’elle tient dans l’une de ses mains. Comprenant tout de même la
gravité de la situation, il leur dit :
– Mais vous êtes folles, vous êtes
complètement folles !
Oui, c’est sœur
Angèle qui en aura l’honneur. Alors qu’elle avance l’outil prêt de sa verge,
elle se saisit du membre et le branle avec son autre main tout en priant :
– Dieu saint, Dieu fort, Dieu immortel,
aie pitié de nous, aie pitié de ce pauvre pêcheur.
A ce moment même, Gilles
se met à éjaculer encore, comme un éjaculateur précoce qui n'a pas su se
retenir, tandis qu'elle lui entaille le sexe. La semence se déverse dans tous
les sens, soeur Angèle s'applique à lui découper correctement sans prêter
attention à l'aventurier qui hurle de toutes ses forces. Après plusieurs mouvements
de va et vient, elle finit par détacher le pénis de son corps. Bien que le sang
se déverse de partout, le rituel continue. Elle passe maintenant la serpe à
sœur Anna qui se fait un malin plaisir de poursuivre ce sacrifice en lui
tranchant l’une de ses boules. Puis, sœur Marie Belle qui s’esclaffe de rire
s’empare de la serpe pour en finir avec son autre boule. Emasculé et épuisé par
toutes cette souffrance qu'il vient d'endurer, l’aventurier leur demande :
– Pourquoi, pourquoi ?
Lui qui voulait
connaitre les origines de cette croix, sœur Marie Belle l’informe :
– Il y a plusieurs années, l’une de nos
sœurs se baladait tranquillement dans cette forêt. Nous l’avons retrouvé ici
même, morte. Elle avait été violée.
– Je n’ai rien à voir avec tout ça, je n’ai
rien à voir, indica Gille d'une voix fragile alors qu’il se vide de son sang.
– Nous l’avons enterré ici même et avons
installé cette croix pour punir n’importe quel homme qui aurait un comportement
pervers envers nous autres, poursuivit sœur Anna.
– C’est tout ce que tu méritais, mais ne
t'inquiète pas, tu es pardonné pour tout tes pêchés, conclut sœur Angèle en lui
montrant son pénis qu’elle tient encore dans sa main.
L’aventurier ne dit
plus rien. Est-il le premier à subir un tel sort ou y’en a-t-il eu d’autres
avant lui ? Malgré que sa curiosité fût châtié, il a encore eu l’audace de se
questionner encore. Progressivement, Gilles agonise et s’évanouie pour un aller
simple vers le paradis.
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